Saturday, March 24, 2007

Paparazzi - Paris IX

Un bon restaurant italien aux allures de bistrot où il faut absolument manger une pizza ; mais attention, elle est à partager à deux car elle arrive servie sur deux assiettes... Le bon choix est peut être alors de prendre une pizza et des antipasti, soit végétariens, soit charcutérisés. L'ambiance, relativement sombre en raison de la présence du parquet wenge et de tables du même colori donne envie de passer l'après midi dans cet endroit à deux pas du théatre Edouard VII, surtout lorsqu'il tombe des sauts d'eau au mois de mars dans les rues parisiennes.

6 Sq Opéra Louis Jouvet, juste devant le théâtre. Tel : 01 40 07 92 56

Le Zinc Zinc, Neuilly

J'aime beaucoup cet endroit, qui se transforme un peu en cantine du midi puisque je n'y suis jamais allé le soir. Il me permet de fuir la vraie cantine de mon bureau et du coup c'est un vrai bol d'air frais. Les plats sont bons même si je prends pratiquement à chaque fois la pièce de boeuf. D'ailleurs j'ai l'impression qu'elle a pris quelques grammes en quelques années et c'est tout ce qu'on pouvait lui souhaiter et se souhaiter par la même occasion. On peut manger au comptoir, ou plutôt au zinc ce qui est bien agréable !

209 av Charles de Gaulle. Tel : 01 40 88 36 06

404 "Restaurant Familial" Paris III

On a vraiment l'impression d'être au Maroc, dans une Casbah. Le restaurant est constitué d'une seule pièce, pas très grande, et d'une mezzanine, plutôt toute petite. Les entrées et le Couscous étaient très bon, la viande bien tendre. Rien à redire ! Seul bémol de la soirée : nous étions une bonne vingtaine et du coup la part de table allouée à chacun ne dépassait pas les 30 cm... mais rien de bien grave ! Les couverts en métal forgé sont très beaux !

A faire ou bien à refaire, sans y chercher le grand luxe. C'est bien et c'est convivial.

Pour le prix, je sais pas, j'ai pas vu passer la note

69, rue des Gravilliers. Tel : 01 42 74 57 81

Saturday, March 10, 2007

L'Atelier Joël Robuchon - VIIème

Le décor est relativement sombre, il n'y a pas de table permettant les grandes bouffes à 10 alors mieux vaut venir ici à deux, s'installer au comptoir sur des tabourets haut perchés et commander quelques plats, tous excellents en regardant les cuisiniers s'activer derrière le bar dans la cuisine apparente. Ce soir là je ne sais plus trop ce que j'ai mangé, sauf les rognons qui étaient fabuleux ... Je reviendrai pour améliorer çà. Les verres de vin de mon sud ouest étaient très bons. D'ailleurs peut être que ce n'était pas qu'un verre mais une bouteille.

Il faut compter une centaine d'euros et quelques minutes (heures ?) de patience puisque les réservations ne sont pas acceptées. Mais il faut y aller.

5-7 rue de Montalembert

Sunday, November 05, 2006

Devez - Paris VIII

Devez fait partie de ces restaurants auxquels il manque une particule. On a plus envie de dire Chez Devez que Devez. Bref, Chez Devez, c'est un petit Aubrac en bas de l'avenue Georges V, au pied du pont de l'Alma. La viande y est succulante est les portions ne sont pas servies avec le dos de la cuillere. Il y a même un Burger chez Devez, mais le steack haché pris en sandwich entre les deux tranches de pain est un vrai steack haché à la main qui fait bien 2,5 cm d'épaisseur. Le pavé de boeuf mérite vraiment son nom.

Une parfaite enseigne pour toute envie de boeuf, sans restriction. De plus, la terrasse est agréable, relativement à l'abris du bruit des avenues qui se croisent à quelques mètres.

L'addition tourne autour des 25 - 30 euros par personne

Devez, 5 place de l'Alma

Le Violon d'Ingres - Paris VII

Christian Constant a mis les grosses additions au placard et a fait de son restaurant un bistrot de luxe qui donne envie de s'assoir, de discuter avec ses voisins de table et de savourer une cuisine d'excellente qualité. Les couleurs sont chaleureuses et la table haute en entrant sur la droite donne envie de s'attabler avec ses amis. On a presque l'impression que le lieu n'a pas été complètement insonorisé pour restituer une ambiance de bistrot; vivant.

Le menu entrée, plat, dessert est à 45 euros, hors vin et tout est un régal. Nous n'avons pas eu le courage de nous attaquer aux trois plats, alors nous avons fait l'impasse sur l'entrée, mais promis, la prochaine fois, l'entrée sera bien dans nos assiettes.
En guise de plats, nous avons donc pris des Saint Jacques cuites dans leurs coquilles avec une petite salade en accompagnement (25 euros) et une côte de boeuf avec un jus au persil plat, accompagnée d'un gratin de pâtes (29 euros).
En desserts, fromage pour les hommes avec un saint nectaire (8 euros) et gâteau au chocolat pour les femmes, une vraie spécialité de la maison.
Le tout arrosé avec un Pic Saint Loup 2004, le Loup du Pic, parfait ! (25 euros)

En prenant le menu et une bouteille de vin pour deux, il faut compter 130 euros par couple.

Promis, la prochaine fois, on mangera plus et on changera de plat. Les palombes avaient l'air terribles !!

Le violon d'Ingres, 135 rue Saint Dominique.

Sunday, June 11, 2006

Le Gaya - Paris VII

Certains chefs comme Alain Senderens se recentrent sur leur cuisine, préfèrent raccrocher les étoiles et se consacrer aux assiettes pendant que d'autres, tel Pierre Gagnaire, jouent la diversité et multiplient les annexes. Cela n'est sûrement pas une remarque à généraliser mais là, grosse déception !

L'enchainement du Senderens et du Gaya a été une mauvaise idée car la chute a été d'autant plus rude que la première maison excelle en tout ! Quand au Gaya, je ne vois qu'un seul commentaire : mieux vaut passer son chemin.

Cuisine et Confidence - Ier

Flo & Flo tiennent à merveille cet enseigne de la place du marché Saint Honoré qui déborde d'habitués. Tous les plats sont d'une parfaite fraîcheur et il est difficile de choisir une assiette tellement leurs noms et leur composition fait envie ! Un gros petit coup de coeur quand même pour Nuit d'été d'Italie, l'incontournable tartare et l'assiette de samon dont j'oublie le nom à l'instant où il faut le coucher sur le papier mais que j'ai pourtant mangé le plus souvent !

C'est un vrai régal tous les jours de la semaine, en intérieur ou en extérieur.

Merci pour tout, merci pour le Rebond 2J et à très vite !

On vous embrasse

Le Senderens, Paris VIII

Nous sommes allés au Senderens une fois les trois étoiles raccrochées et les prix largement revus à la baisse. La qualité elle n'a pas bougée, et finalement, après la sortie du guide Michelin 2006, deux étoiles restent bien accrochées au plastron d'Alain Senderens.
Le cadre mélange la modernité à la tradition avec des tables grises qui cotoient les boiseries d'époque. L'étage est également très agréable, avec les plaques de verres dans lesquelles sont présents des dessins collées au plafond. Nous avons d'ailleurs pris l'apéritif au Passage, le bar de la maison.

Apéritif : une verre de champagne Demoiselle Vranken pour elle, un verre de Faugère Jadis 2002 de Léon Barral, vin que j'adore tant et qui m'accompagnera jusqu'à la fin du repas. Quand à Julie, elle continuera son repas sur un Viognier 2004 du domaine de la Royère.

La suite se passe au rez de Chaussée, où tout ne fait finalement que commencer.

Homard et mangue au basilic pour l'un, Lotte et moules d'Espagne au curry vert pour l'autre en guise d'entrée ;
Dos de saumon d'Ecosse servi tiède, rubans de concombre pour elle et Volaille de Challans pattes noires risotto crémeux aux truffes pour lui en plat principal ;
Une fourme d'Ambert, pour moi, seul à affronter le fromage ;
Un coulant de Samana pour ma moitié, qu'elle finit pendant que je prends un décaféiné

Addition de 220 €, avec un peu d'eau mais pas trop. A faire, à refaire. On ne peut pas oublier et il me paraît impossible de ne pas vouloir y revenir.

Friday, May 26, 2006

Le Passage, bar du Senderens, Paris VIII

2 assortiments de Tapas composés d'un oeuf cocotte avec une asperge servant de mouillette, accompagnée d'une autre au beurre vert - de pimientos farçis au chorizo accompagnés d'encre de seiche - d'un consommé de petits pois assorti d'une brochette d'anguille - d'une assiette de lomo et de jabugo, 32 €
2 assortiments de sushis à la daurade royale et au bar, 20 €
2 Dim Sun de Gambas, tout simplement à essayer sauf si on n'aime pas la pâte (même si chez Senderens il est difficile de ne pas aimer), 10 €
2 saumons d'écosse, ni fumé ni gravlax, tout simplement écossais, 10 €
1 millefeuille à la vanille de Tahiti, délicieux,
1 fourme d'Ambert accompagnée d'une brioche aux cerises, 6 €
1 verre de petit cubain, 7 € non alcoolisés,
2 verres deElias Mora 2004, 16 €
Total 101 €, que du bonheur, une ambiance appaisante. Top

Tuesday, March 28, 2006

Byzance / Bellota Bellota - VIII - VII - 92 - Excellent

Entrer chez Bellota, c'est une pause dans le temps. On entre pour déguster un des meilleurs jambons de la capitale et puis on se laisse embarquer dans une avalanche de saveurs. L'assiette Harmonie est une pure merveille, avec d'un côté une purée de pomme de terre à l'huile d'olive accompagnée de lamelles de jambon et de l'autre côté deux oeufs à l'étuvée avec quelques cèpes. Rien n'est à laisser, tout est exquis. En dessert, la Torta accompagnée d'une confiture aux piments est également fabuleuse et l'alliance entre les deux goûts est déroutante. Quant aux vins, ils sont une invitation à boire, sauf que le samedi midi il faut savoir modérer sa soif si on ne veut pas passer l'après midi à faire la sieste.
Pour ce qui est des lieux, seul le restaurant du 18 rue Jean Nicot est ouvert le soir. Pour le midi, le cadre de Byzance rue Kermen à Boulogne est assez envoutant. Pour un moment divin, il faut compter 50 € par personne, le midi comme le soir

Wednesday, March 22, 2006

Colette - Rue Saint Honoré - Paris Ier

Tout fait envie : la carte, l'accueil du personnel, la simplicité des plats avec les légumes vapeur cuits à merveille accompagnés d'un filet d'huile d'olive, le hachi parmentier irréprochable, les lasagnes végétariennes, sans oublier les desserts de chez Hermé, de Ladurée et le café Illy qui heureusement à retrouvé sa place après un léger détour, pardonné, par Starbuck. Le tout pour des prix tout à fait raisonnables. Repas 25 Euros. Ah ! Au fait ! il faut penser à retourner la carte pour choisir sa bouteille d'eau, plate ou gazeuse avec un choix déconcertant. Top top top

Steak and Lobster Paris VIII - 5/10

Le steak and Lobster a ouvert il y a quelques temps rue Jean Mermoz, vers le bas des Champs Elysées. Le cadre est vraiment convaincant, les murs sont dans les tons de gris et les cadres aux murs rappellent les chaises dessinées par Renoma. On a vraiment envie d'y rentrer, de s'assoir, de dîner. Lorsque la carte arrive, même impression : les noms des plats et les descriptions sont très entrainants. Malheureusement, la Ceasar salade n'a de commun avec celle qu'on mange aux Etats Unis que les feuilles vertes, rien d'autre. Quant aux plats, le steak and lobster qui fait tant envie sur le papier n'a rien de terrible, surtout pour un plat à 50 Euros. Le dîner n'est donc pas très probant, la salle est vide bien que ce soit samedi soir ; peut être faut il venir en semaine le midi pour manger un hamburger...