Le Senderens, Paris VIII
Nous sommes allés au Senderens une fois les trois étoiles raccrochées et les prix largement revus à la baisse. La qualité elle n'a pas bougée, et finalement, après la sortie du guide Michelin 2006, deux étoiles restent bien accrochées au plastron d'Alain Senderens.
Le cadre mélange la modernité à la tradition avec des tables grises qui cotoient les boiseries d'époque. L'étage est également très agréable, avec les plaques de verres dans lesquelles sont présents des dessins collées au plafond. Nous avons d'ailleurs pris l'apéritif au Passage, le bar de la maison.
Apéritif : une verre de champagne Demoiselle Vranken pour elle, un verre de Faugère Jadis 2002 de Léon Barral, vin que j'adore tant et qui m'accompagnera jusqu'à la fin du repas. Quand à Julie, elle continuera son repas sur un Viognier 2004 du domaine de la Royère.
La suite se passe au rez de Chaussée, où tout ne fait finalement que commencer.
Homard et mangue au basilic pour l'un, Lotte et moules d'Espagne au curry vert pour l'autre en guise d'entrée ;
Dos de saumon d'Ecosse servi tiède, rubans de concombre pour elle et Volaille de Challans pattes noires risotto crémeux aux truffes pour lui en plat principal ;
Une fourme d'Ambert, pour moi, seul à affronter le fromage ;
Un coulant de Samana pour ma moitié, qu'elle finit pendant que je prends un décaféiné
Addition de 220 €, avec un peu d'eau mais pas trop. A faire, à refaire. On ne peut pas oublier et il me paraît impossible de ne pas vouloir y revenir.
Le cadre mélange la modernité à la tradition avec des tables grises qui cotoient les boiseries d'époque. L'étage est également très agréable, avec les plaques de verres dans lesquelles sont présents des dessins collées au plafond. Nous avons d'ailleurs pris l'apéritif au Passage, le bar de la maison.
Apéritif : une verre de champagne Demoiselle Vranken pour elle, un verre de Faugère Jadis 2002 de Léon Barral, vin que j'adore tant et qui m'accompagnera jusqu'à la fin du repas. Quand à Julie, elle continuera son repas sur un Viognier 2004 du domaine de la Royère.
La suite se passe au rez de Chaussée, où tout ne fait finalement que commencer.
Homard et mangue au basilic pour l'un, Lotte et moules d'Espagne au curry vert pour l'autre en guise d'entrée ;
Dos de saumon d'Ecosse servi tiède, rubans de concombre pour elle et Volaille de Challans pattes noires risotto crémeux aux truffes pour lui en plat principal ;
Une fourme d'Ambert, pour moi, seul à affronter le fromage ;
Un coulant de Samana pour ma moitié, qu'elle finit pendant que je prends un décaféiné
Addition de 220 €, avec un peu d'eau mais pas trop. A faire, à refaire. On ne peut pas oublier et il me paraît impossible de ne pas vouloir y revenir.
0 Comments:
Post a Comment
<< Home